il y a quelques temps, j'ai lu le roman" dune "de franck herbert ,il était si palpitant que j'attendait avec délice et impatience le moment où j'allais pouvoir me replonger dans cette histoire ,et me laisser aller au plaisir de lire ; j'en étais au moment où paul dit " je ne connaitrai pas la peur,car la peur tue l'esprit " quel courage face à l'hostilité de son oncle usurpateur du trône et meurtrier de son père".
en plein désert de " dune" , sa mère et lui fuyaient ,affrontant les sables mouvants avec d'infinies précautions de peur de réveiller les terribles vers des sables ,car si ces derniers se réveillaient ,c'en était fait de leur vie . a cette pensée la terreur m'envahit, car ils devaient marcher dans ce paysage d'apocalypse. ces descriptions macabres ,commençaient à m'inquiéter ,l'atmosphère devenait angoissante,oppressante . mon lit s'était insensiblement creusé et je me trouvais moi aussi dans ce désert ,dans les affres arides de la peur . devais-je m'élancer,suivre paul et sa mère dans ces sables orangés ou fermer le livre pour retrouver le moelleux de ma couette ? le goût du risque l'emporta . je décidai,la gorge serrée, de poursuivre mon exploration du monde galactique .
paul et sa mère venaient d'arriver au bord d'un erg pentu,j'aurai voulu leur crier de prendre garde ,car un étrange pressentiment m'envahissait au fil des mots; la catastrophe devenait pour moi imminente ,je virais du blanc au vert ,du moins me l'imaginai-je . soudain une avalanche se déclencha sur la pente sablonneuse, mes cheveux se dressèrent sur ma tête,ils allaient être engloutis ,et le bruit allait réveiller ces maudits vers qui les dévoreraient .ils disparurent soudainement ,enterrés vivants . ma gorge se serra comme sous le poids du sable. ce fut moi en titubant ,remontant la pente ,de mes bras,de mes mains,de mes ongles,qui creusai avec l'énergie du désespoir ,mon dieu à l'aide criai-je. mon sang se glaçait puis bouillait ,je grelottai et brûlai de fièvre en même temps ,soudain une nouvelle avalanche s'abattit et je continuai de creuser. puis ,une main ,celle de paul, je le tirai ,ensemble nous cherchâmes sa mère qui avait réussit a dévaler une partie de la pente ,elle était hors de danger .
a ce moment là , je repris mes esprits, je fermais le livre . la peur m'avait mis(e) toute en eau .pourquoi avais-je soudain partagé le destin des personnages ? pourquoi n'avais-je pas maintenu la distance entre mon roman et la réalité ?
a bien y réfléchir ,je pense avec le recul avoir trouvé une explication partielle. j'ai en effet toujours eu peur de mourir étouffé(e) ,suite à une baignade ,un incident qui aurait pu mal tourné lorsque j'étais enfant, je pense qu'en lisant cette scène,je me suis retrouvé(e) dans la situation ancienne qui avait produit ma peur ,peut-être même ai-je revécu ce moment de terrible angoisse à travers les aventures des personnages du roman
Bonjour,
a. Il est possible que je vienne.
Vous pourrez compter sur ma présence, à moins que je ne doive accueillir les invités.
Il faudra que je quitte la France aujourd'hui et que j'aille les rencontrer
Que je le veuille ou non il faudra que je me rende à Genève et que m'assois à la table des négociations.
Penses-tu que je le vaille à la tribune ?
Quoi que je fasse je crains qu'il ne soit difficile d'arriver à un accord.
Il souhaite que je vois les ambassadeurs, que je m'entende avec eux, mais il ne veut pas que je leur avoue nos intentions.
b. Il est possible que nous venions.
Vous pourrez compter sur notre présence, à moins que nous devions accueillir les invités.
Il faudra que nous quittions la France aujourd'hui et que nous allions les rencontrer
Que nous le voulions ou non il faudra que nous nous rendions à Genève et que nous nous asseyons à la table des négociations.
Penses-tu que nous le valions à la tribune ?
Quoi que nous fassions je crains qu'il ne soit difficile d'arriver à un accord.
Il souhaite que nous voyions les ambassadeurs, que nous nous entendions avec eux, mais il ne veut pas que nous leur avouions nos intentions.
il y a quelques temps, j'ai lu le roman" dune "de franck herbert ,il était si palpitant que j'attendait avec délice et impatience le moment où j'allais pouvoir me replonger dans cette histoire ,et me laisser aller au plaisir de lire ; j'en étais au moment où paul dit " je ne connaitrai pas la peur,car la peur tue l'esprit " quel courage face à l'hostilité de son oncle usurpateur du trône et meurtrier de son père".
en plein désert de " dune" , sa mère et lui fuyaient ,affrontant les sables mouvants avec d'infinies précautions de peur de réveiller les terribles vers des sables ,car si ces derniers se réveillaient ,c'en était fait de leur vie . a cette pensée la terreur m'envahit, car ils devaient marcher dans ce paysage d'apocalypse. ces descriptions macabres ,commençaient à m'inquiéter ,l'atmosphère devenait angoissante,oppressante . mon lit s'était insensiblement creusé et je me trouvais moi aussi dans ce désert ,dans les affres arides de la peur . devais-je m'élancer,suivre paul et sa mère dans ces sables orangés ou fermer le livre pour retrouver le moelleux de ma couette ? le goût du risque l'emporta . je décidai,la gorge serrée, de poursuivre mon exploration du monde galactique .
paul et sa mère venaient d'arriver au bord d'un erg pentu,j'aurai voulu leur crier de prendre garde ,car un étrange pressentiment m'envahissait au fil des mots; la catastrophe devenait pour moi imminente ,je virais du blanc au vert ,du moins me l'imaginai-je . soudain une avalanche se déclencha sur la pente sablonneuse, mes cheveux se dressèrent sur ma tête,ils allaient être engloutis ,et le bruit allait réveiller ces maudits vers qui les dévoreraient .ils disparurent soudainement ,enterrés vivants . ma gorge se serra comme sous le poids du sable. ce fut moi en titubant ,remontant la pente ,de mes bras,de mes mains,de mes ongles,qui creusai avec l'énergie du désespoir ,mon dieu à l'aide criai-je. mon sang se glaçait puis bouillait ,je grelottai et brûlai de fièvre en même temps ,soudain une nouvelle avalanche s'abattit et je continuai de creuser. puis ,une main ,celle de paul, je le tirai ,ensemble nous cherchâmes sa mère qui avait réussit a dévaler une partie de la pente ,elle était hors de danger .
a ce moment là , je repris mes esprits, je fermais le livre . la peur m'avait mis(e) toute en eau .pourquoi avais-je soudain partagé le destin des personnages ? pourquoi n'avais-je pas maintenu la distance entre mon roman et la réalité ?
a bien y réfléchir ,je pense avec le recul avoir trouvé une explication partielle. j'ai en effet toujours eu peur de mourir étouffé(e) ,suite à une baignade ,un incident qui aurait pu mal tourné lorsque j'étais enfant, je pense qu'en lisant cette scène,je me suis retrouvé(e) dans la situation ancienne qui avait produit ma peur ,peut-être même ai-je revécu ce moment de terrible angoisse à travers les aventures des personnages du roman
espèrant t'avoir aidé(e)
si tu es un garçon écrit " é " une fille " ée "
salut,
je serait tanté de dire que c'est une anaphore car le nom "afrique est répété à chque début de vers.
bonne soirée !
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