3) Chaque poète est différent. Chaque poète possède une créativité, une façon d'écrire différente. Chaque poète a un style. (ici j'ai utilisé une figure de style: l'anaphore)
Certains aimeront utiliser des figures de styles, d'autres non.. D'autres préfèrent des rimes bien construites... :)
Explications : Pour rédiger ce dévloppemetn il faut que tu prenne ton cour est que tu prenne les information les plus important ensuite tu va les trier pour enfaire de grande partis. Dans l'introduction tu va parler des deux sujet que ta mis dans le dévloppement et la conclusion tu va mettre se que t'a tirré dans les eux dévloppement.
Q1: L'indice de développement humain (IDH),permet d'évaluer le niveau de développement humain des pays du monde. L'IDH se fondait alors sur trois critères : le PIB par habitant, l'espérance de vie à la naissance et le niveau d'éducation.
Q2: L'IDH se fond sur trois critères : le PIB par habitant, l'espérance de vie à la naissance et le niveau d'éducation des enfants de 15 ans et plus.
Q3:
Q4: on peut le confirmer en évaluant l'IDH dans les pays du sud et ceux du nord (l'IDH est l'indice de développement humain ) les pays de l'Afrique ont un IDH très bas alors que l'Europe par exemple a un IDH très élevé ou moyen cette inégalité est représentée par une ligne virtuelle nommé ligne Nord-Sud
La lettre que Rimbaud adresse à Banville, le 24 mai 1870, nous apprend que Sensation, ce court poème, date du 20 avril 1870. Ces deux quatrains se rattachent à la veine thématique des poèmes du voyage et de la bohème, à ceci près que l’ailleurs recherché ici est moins spatial que passionnel.
Texte du poème Sensation de Rimbaud
Lecture audio du poème Sensation
Sensation
Par les soirs bleus d’été, j’irai dans les sentiers,
Picoté par les blés, fouler l’herbe menue :
Rêveur, j’en sentirai la fraîcheur à mes pieds.
Je laisserai le vent baigner ma tête nue.
Je ne parlerai pas, je ne penserai rien :
Mais l’amour infini me montera dans l’âme,
Et j’irai loin, bien loin, comme un bohémien,
Par la Nature, — heureux comme avec une femme.
Arthur Rimbaud - Poésies
Annonce des axes + / -
I. Le sens de la composition
1. Corps et âme
2. L’effet de la dernière phrase
II. Un espace sensuel et féminin
1. Un paysage mobile
2. Un paysage sensuel
3. La communion des éléments
Commentaire littéraire + / -
I. Le sens de la composition
1. Corps et âme
Composé d’une seule phrase, le premier quatrain se caractérise par de nombreuses références au corps (des "pieds" à la "tête") et aux sensations tandis que le second multiplie des termes ressortissant à des actions ou des sentiments abstraits (parler, penser, "amour infini", "âme", "Nature" avec majuscule). Cette distinction dualiste est cependant atténuée par l’économie des liaisons logiques qui assurent une grande fluidité au poème (renforcée par la musicalité de nombreuses assonances à l’intérieur des vers). Seule, au vers 6, la conjonction de coordination "mais" introduit une nuance d’opposition (encore qu’elle soit discrète, suggérant davantage que " l’amour infini " n’a rien à voir avec une activité intellectuelle : "je ne penserai rien").
2. L’effet de la dernière phrase
Les huit dernières syllabes du dernier vers, typographiquement mises en valeur par une virgule et un tiret d’incidente, achèvent le second quatrain sur une note éminemment sensuelle (l’évocation d’une femme) qui contraste avec les sentiments abstraits décrits précédemment. Cette comparaison finale introduit la présence d’une altérité féminine qui, à tous les sens du terme, forme un couple avec la comparaison précédente du vers 7 ("comme un bohémien"). Cette introduction des rapports humains au sein de ce qui se présentait jusqu’alors comme une jouissance hédoniste centrée sur le seul locuteur induit une lecture rétrospective : le bonheur de la promenade est d’ordre, sinon passionnel, du mois sensuel.
II. Un espace sensuel et féminin
1. Un paysage mobile
La structuration de l’espace du poème suggère que l’espace se révèle animé : des "soirs bleus", le regard descend dans "les sentiers" jusqu’au sol ("les blés") et ses détails infimes ("l’herbe menue"). Puis des "pieds", on passe à la tête, mouvement qui se prolonge avec l’évocation de "l’amour infini qui (lui) montera dans l’âme". Enfin, ce mouvement vertical s’achève sur l’évocation d’une perspective horizontale en point de fuite ("j’irai loin, bien loin"). Loin d’être une toile de fond passive, simple décor de sentiments du locuteur, la Nature (que la majuscule contribue de surcroît à humaniser) tient une place prépondérante dans le bonheur du locuteur : véritable présence à ses côtés, elle le sollicite activement.
2. Un paysage sensuel
Deux sens sont plus particulièrement sollicités : la vue ("les soirs bleus d’été") et le toucher ("picoté par les blés, fouler l’herbe menue", "j’en sentirai la fraîcheur à mes pieds", "je laisserai le vent baigner ma tête nue"). Cela renvoie aux deux parties du corps évoquées : les pieds, symbole du contact physique et immanent avec le monde, et la tête, symbole du lieu des sentiments.
3. La communion des éléments
L’air et l’eau se conjuguent : le locuteur laisse "baigner" sa tête dans le souffle du vent. Le jour et la nuit produisent un effet d’union chromatique à travers l’évocation des "soirs bleus d’été". Cette thématique de l’union et de l’harmonie prépare la comparaison finale en rendant sensible le singulier du titre : il ne s’agit ni d’une ni de plusieurs sensations, mais d’un état de complétude à la fois sensuel et sentimental.
Conclusion
Avec un lyrisme contenu et une très efficace économie de moyens stylistiques, Rimbaud parvient à proposer une vision originale d’un thème qui lui est cher : le transport conjoint ici la dynamique spatiale de la bohème et la nature fusionnelle des sensations. Renonçant aux clichés d’une tradition qu’il connaît fort bien (et qu’il n’hésite pas à l’occasion, comme dans " Credo in Unam ", à utiliser), Rimbaud conjugue dans Sensation simplicité (du lexique, des images) et complexité (le dernier vers induit une subtile lecture rétrospective) : ce poème n’évoque-t-il pas, en effet, les futures chansons elliptiques composant les " Derniers vers " ?
tout d'abord on peut le confirmer en étudiant une carte évaluant l'IDH dans les pays du sud et ceux du nord (l'IDH est l'indice de développement humain ) les pays de l'Afrique ont un IDH très bas alors que l'Europe par exemple a un IDH très élevé ou moyen cette inégalité est représentée par une ligne virtuelle nommé ligne Nord-Sud
Je préfére la nuit parce-que nous pouvons regarder les étoiles, la lune, le paysage. Avec la noirceur de la nuit ça rend l'atmosphère plus calme. Tous les animaux qui me sortent pas la journée, ils sortent la nuit. On peut voir une autre vision du monde. Ça me plaît beaucoup. C'est si intéressant, surtout quand ont entend des sons de la nature. C'est si reposant pour faire de beaux rèves. Voilà pourquoi je préfère la nuit...
Moi je pense que oui ! Par exemple, si tu lis une histoire qui te traces trait pour trait la vie d'un orphelin sans abris en plein temps de guerre avec toutes les horreurs de celle-ci, tu te diras : "mince il est plus jeune que moi (ou pas) il a vécu toutes ces horreurs personne ne l'aide ..." et du coup tu vas penser souvent à ça et tu réfléchiras au injustices de ce monde "guerre ou paix, bonheur ou malheur, bien entouré ou solitude" et tu te diras que certaines associations aides ces personnes tandis que d'autres ne font rien Bon je sais pas si ça va t'aider mais je vois ça comme ça, bonne chance ! :)
explications:
j comprend pas ce que tu veut dire
Bonjour,
1) La poésie c'est un art.
La poésie c'est une façon d'exprimer les sentiments d'une personne.
La poésie est un monde à part, un rêve, un souvenir.
La poésie est une très bonne forme de dénonciation.
2) Les figures de style liés au genre poétique sont classés (selon moi ) en deux groupes:
les répétitions ( anaphore, allitération, assonance...)les images ( personnification, métaphore, comparaison...)3) Chaque poète est différent. Chaque poète possède une créativité, une façon d'écrire différente. Chaque poète a un style. (ici j'ai utilisé une figure de style: l'anaphore)
Certains aimeront utiliser des figures de styles, d'autres non.. D'autres préfèrent des rimes bien construites... :)
Explications : Pour rédiger ce dévloppemetn il faut que tu prenne ton cour est que tu prenne les information les plus important ensuite tu va les trier pour enfaire de grande partis. Dans l'introduction tu va parler des deux sujet que ta mis dans le dévloppement et la conclusion tu va mettre se que t'a tirré dans les eux dévloppement.
Q1: L'indice de développement humain (IDH),permet d'évaluer le niveau de développement humain des pays du monde. L'IDH se fondait alors sur trois critères : le PIB par habitant, l'espérance de vie à la naissance et le niveau d'éducation.
Q2: L'IDH se fond sur trois critères : le PIB par habitant, l'espérance de vie à la naissance et le niveau d'éducation des enfants de 15 ans et plus.
Q3:
Q4: on peut le confirmer en évaluant l'IDH dans les pays du sud et ceux du nord (l'IDH est l'indice de développement humain ) les pays de l'Afrique ont un IDH très bas alors que l'Europe par exemple a un IDH très élevé ou moyen cette inégalité est représentée par une ligne virtuelle nommé ligne Nord-Sud
réponse :
Introduction
La lettre que Rimbaud adresse à Banville, le 24 mai 1870, nous apprend que Sensation, ce court poème, date du 20 avril 1870. Ces deux quatrains se rattachent à la veine thématique des poèmes du voyage et de la bohème, à ceci près que l’ailleurs recherché ici est moins spatial que passionnel.
Texte du poème Sensation de Rimbaud
Lecture audio du poème Sensation
Sensation
Par les soirs bleus d’été, j’irai dans les sentiers,
Picoté par les blés, fouler l’herbe menue :
Rêveur, j’en sentirai la fraîcheur à mes pieds.
Je laisserai le vent baigner ma tête nue.
Je ne parlerai pas, je ne penserai rien :
Mais l’amour infini me montera dans l’âme,
Et j’irai loin, bien loin, comme un bohémien,
Par la Nature, — heureux comme avec une femme.
Arthur Rimbaud - Poésies
Annonce des axes + / -
I. Le sens de la composition
1. Corps et âme
2. L’effet de la dernière phrase
II. Un espace sensuel et féminin
1. Un paysage mobile
2. Un paysage sensuel
3. La communion des éléments
Commentaire littéraire + / -
I. Le sens de la composition
1. Corps et âme
Composé d’une seule phrase, le premier quatrain se caractérise par de nombreuses références au corps (des "pieds" à la "tête") et aux sensations tandis que le second multiplie des termes ressortissant à des actions ou des sentiments abstraits (parler, penser, "amour infini", "âme", "Nature" avec majuscule). Cette distinction dualiste est cependant atténuée par l’économie des liaisons logiques qui assurent une grande fluidité au poème (renforcée par la musicalité de nombreuses assonances à l’intérieur des vers). Seule, au vers 6, la conjonction de coordination "mais" introduit une nuance d’opposition (encore qu’elle soit discrète, suggérant davantage que " l’amour infini " n’a rien à voir avec une activité intellectuelle : "je ne penserai rien").
2. L’effet de la dernière phrase
Les huit dernières syllabes du dernier vers, typographiquement mises en valeur par une virgule et un tiret d’incidente, achèvent le second quatrain sur une note éminemment sensuelle (l’évocation d’une femme) qui contraste avec les sentiments abstraits décrits précédemment. Cette comparaison finale introduit la présence d’une altérité féminine qui, à tous les sens du terme, forme un couple avec la comparaison précédente du vers 7 ("comme un bohémien"). Cette introduction des rapports humains au sein de ce qui se présentait jusqu’alors comme une jouissance hédoniste centrée sur le seul locuteur induit une lecture rétrospective : le bonheur de la promenade est d’ordre, sinon passionnel, du mois sensuel.
II. Un espace sensuel et féminin
1. Un paysage mobile
La structuration de l’espace du poème suggère que l’espace se révèle animé : des "soirs bleus", le regard descend dans "les sentiers" jusqu’au sol ("les blés") et ses détails infimes ("l’herbe menue"). Puis des "pieds", on passe à la tête, mouvement qui se prolonge avec l’évocation de "l’amour infini qui (lui) montera dans l’âme". Enfin, ce mouvement vertical s’achève sur l’évocation d’une perspective horizontale en point de fuite ("j’irai loin, bien loin"). Loin d’être une toile de fond passive, simple décor de sentiments du locuteur, la Nature (que la majuscule contribue de surcroît à humaniser) tient une place prépondérante dans le bonheur du locuteur : véritable présence à ses côtés, elle le sollicite activement.
2. Un paysage sensuel
Deux sens sont plus particulièrement sollicités : la vue ("les soirs bleus d’été") et le toucher ("picoté par les blés, fouler l’herbe menue", "j’en sentirai la fraîcheur à mes pieds", "je laisserai le vent baigner ma tête nue"). Cela renvoie aux deux parties du corps évoquées : les pieds, symbole du contact physique et immanent avec le monde, et la tête, symbole du lieu des sentiments.
3. La communion des éléments
L’air et l’eau se conjuguent : le locuteur laisse "baigner" sa tête dans le souffle du vent. Le jour et la nuit produisent un effet d’union chromatique à travers l’évocation des "soirs bleus d’été". Cette thématique de l’union et de l’harmonie prépare la comparaison finale en rendant sensible le singulier du titre : il ne s’agit ni d’une ni de plusieurs sensations, mais d’un état de complétude à la fois sensuel et sentimental.
Conclusion
Avec un lyrisme contenu et une très efficace économie de moyens stylistiques, Rimbaud parvient à proposer une vision originale d’un thème qui lui est cher : le transport conjoint ici la dynamique spatiale de la bohème et la nature fusionnelle des sensations. Renonçant aux clichés d’une tradition qu’il connaît fort bien (et qu’il n’hésite pas à l’occasion, comme dans " Credo in Unam ", à utiliser), Rimbaud conjugue dans Sensation simplicité (du lexique, des images) et complexité (le dernier vers induit une subtile lecture rétrospective) : ce poème n’évoque-t-il pas, en effet, les futures chansons elliptiques composant les " Derniers vers " ?
tout d'abord on peut le confirmer en étudiant une carte évaluant l'IDH dans les pays du sud et ceux du nord (l'IDH est l'indice de développement humain ) les pays de l'Afrique ont un IDH très bas alors que l'Europe par exemple a un IDH très élevé ou moyen cette inégalité est représentée par une ligne virtuelle nommé ligne Nord-Sud
1.a. Quel est le verbe répété dans le premier quatrain ?
- le verbe est : allais
b. Relevez d'autres passages du poème qui font écho à ce verbe.
- j'égrenais dans ma course
- Mon auberge était à la Grande-Ourse.
- Et je les écoutais, assis au bord des routes,
2.a. Quel type de phrase observez-vous dans le premier quatrain et dans les tercets ? b. Quel sentiment le poète exprime-t-il ainsi ?
a)-phrases déclaratives et exclamatives.
b) le voyage
3. Vers 6,7,8 : a. Nommez les deux figures de style employées et expliquez oralement le sens de ces vers.
3)- Mon auberge était à la Grande-Ourse.(métaphore)
- Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou(métaphore)
b. Quelle vision du monde ces figures de style traduisent-elles ?
-le rêve
4) Quelle image de la nature Arthur Rimbaud donne-t-il dans le poème?
- Une image de la nature
5.b. Quelle est la classe grammaticale du déterminant dans le titre ?
ma: déteminant possessif
c. A quelle personne grammaticale le poème est-il rédigé ?
c) Première personne du singulier "je" donc pronom personnel
ma: déteminant possessif
Bon je sais pas si ça va t'aider mais je vois ça comme ça, bonne chance ! :)
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