Svp aider moi c est pour demain en première heure c est un devoir en histoire il faut présentez le document. et le décrire. question: quesqui a voulu montrer le dessinateur dans cette image.
Avoir dépeuplé l'amérique veut dire qu'ils ont tué beaucoup d'amérindiens pour pouvoir cultiver des ressources et ils ont été cherché de la main-d'oeuvre en afrique pour les faire travailler dans les champs de cotons par exemple.
A. − ling. construction ou emploi propre à la langue grecque; p. anal. construction ou emploi propre à la langue grecque que l'on introduit dans une autre langue : j'ai promis de réimprimer l'essai sans y changer un seul mot : à cet égard j'ai poussé le scrupule si loin, que je n'ai voulu ni corriger les fautes de langue, ni faire disparoître les hellénismes, latinismes et anglicismes qui fourmillent dans l'essai. chateaubr., essai révol., t. 1, 1826, p. 1. b. − hist. ensemble de la civilisation grecque ancienne. les grecs ne comprenaient rien au monde barbare l'orient répugnait à l'hellénisme (flaub., corresp.,1862, p. 57).le passage de l'organisme égyptien à l'organisme chrétien éprouve la crise poignante subie par l'hellénisme entier à la même époque (faure, espr. formes,1927, p. 53). 1. en partic. a) aspects de cette civilisation (culture, philosophie, religion, un jeune écrivain, passionné d'hellénisme, avait composé toute une suite de symboles et de fables pour dénoncer « l'excès de la sentimentalité dans les arts » (massis, jugements,1924, p. 220). b) hist. des relig. religion d'origine grecque répandue dans l'empire romain. l'hellénisme romain est une religion de la cité (barrès, cahiers,1907, p. 223). 2. p. ext. civilisation à caractère grec qui s'est développée hors de la grèce antique. j'aurai le courage d'achever un travail sur l'histoire de l'hellénisme chez les peuples orientaux (renan, avenir sc.,1890, p. 185). prononc. et orth. : [εl(l)enism̥] ou [ele-]. att. ds ac. dep. 1762. étymol. et hist. 1. 1580 (trippault, celt' hellenisme, ou etymologie des mots françois tirez du graec); 1661 (p. labbe, les étymologies de plusieurs mots françois, fol. e, 1, roet vods mél. boisacq ( p. 176 : budé, avec ses imitateurs, a coutume de se servir du nom hellénisme pour expliquer la convenance du françois avec le grec); d'où 1704 « tour emprunté au grec » (trév.); 2. 1829 « inclination pour la civilisation grecque » (boiste). empr. au gr. ε ̔ λ λ η ν ι σ μ ο ́ ς « emploi correct de la langue grecque », puis « imitation de la langue ou des mœurs grecques » et « mœurs ou religion des grecs ». fréq. abs. littér. : 77.
cette photographie demontre l'urbanisation.
elle represente la ville (zone urbaine) mangeant les animaux de la campagne (zone rural)
Explications :
si la reponce te plaie met un j aime stp
j'ai promis de réimprimer l'essai sans y changer un seul mot : à cet égard j'ai poussé le scrupule si loin, que je n'ai voulu ni corriger les fautes de langue, ni faire disparoître les hellénismes, latinismes et anglicismes qui fourmillent dans l'essai. chateaubr., essai révol., t. 1, 1826, p. 1.
b. − hist. ensemble de la civilisation grecque ancienne. les grecs ne comprenaient rien au monde barbare l'orient répugnait à l'hellénisme (flaub., corresp.,1862, p. 57).le passage de l'organisme égyptien à l'organisme chrétien éprouve la crise poignante subie par l'hellénisme entier à la même époque (faure, espr. formes,1927, p. 53).
1. en partic.
a) aspects de cette civilisation (culture, philosophie, religion, un jeune écrivain, passionné d'hellénisme, avait composé toute une suite de symboles et de fables pour dénoncer « l'excès de la sentimentalité dans les arts » (massis, jugements,1924, p. 220).
b) hist. des relig. religion d'origine grecque répandue dans l'empire romain. l'hellénisme romain est une religion de la cité (barrès, cahiers,1907, p. 223).
2. p. ext. civilisation à caractère grec qui s'est développée hors de la grèce antique. j'aurai le courage d'achever un travail sur l'histoire de l'hellénisme chez les peuples orientaux (renan, avenir sc.,1890, p. 185).
prononc. et orth. : [εl(l)enism̥] ou [ele-]. att. ds ac. dep. 1762. étymol. et hist. 1. 1580 (trippault, celt' hellenisme, ou etymologie des mots françois tirez du graec); 1661 (p. labbe, les étymologies de plusieurs mots françois, fol. e, 1, roet vods mél. boisacq ( p. 176 : budé, avec ses imitateurs, a coutume de se servir du nom hellénisme pour expliquer la convenance du françois avec le grec); d'où 1704 « tour emprunté au grec » (trév.); 2. 1829 « inclination pour la civilisation grecque » (boiste). empr. au gr. ε ̔ λ λ η ν ι σ μ ο ́ ς « emploi correct de la langue grecque », puis « imitation de la langue ou des mœurs grecques » et « mœurs ou religion des grecs ». fréq. abs. littér. : 77.
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